La peinture de Nina Parys, c'est l'évocation d'une sorte de vanité. Vanité de ce quotidien qui inexorablement quitte son apparence et s'achemine vers le renoncement, la disparition et l'implacable mortalité. C'est le gommage des peines, l'effacement des joies, la dissolution des certitudes. Cette peinture cite Baudelaire et Rimbaud, les Fleurs du Mal et l'Ecclésiaste. L'infiniment beau et l'infiniment sot, l'urgence qui ment au périssable. L'impitoyable trouble du sens et l'arrogante futilité de tout... Nécessité de l'essentiel et de la bonté avant l'instant fatal.

E. Checco, metteur en scène et élu à la culture Urbaine de Sarcelles

Nina Parys cultive l’art du portrait. L’intimité de ses toiles révèle des visages dont l’expression capture le regard, l’attire, l’apprivoise, l’interpelle et l’interroge. Statiques ou en mouvement comme si un photographe les avait figés au millième de seconde près, saisis dans l’instant, ces femmes et ces hommes pour lesquels le temps s’est brusquement arrêté révèlent sous le pinceau et les tubes de couleurs de l’artiste leur infinie palette de sentiments. 

C. Séfrin, élu à la Culture de Saint-Prix et journaliste 20 Minutes

Parfait ! Nina est une excellente professeur: très pédagogue, appliquée, et d'un enthousiasme contagieux ! Elle a parfaitement su cerner mes attentes dès le premier contact, et y répondre dès le premier cours. Je ne peux que recommander : chaque cours est un vrai plaisir ! 

Victor, élève peinture